Al-Assad et l’Iran en crise de confiance avec la Russie
Abdul Wahab Badrakhan 20 mars 2019
Abdul Wahab Badrakhan 20 mars 2019
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| 05 novembre 2018
Des mandats d’arrêt internationaux ont été émis il y a quelques jours par un juge d’instruction français à l’encontre de trois hauts responsables syriens, révèle Le Monde. Dans le viseur de la justice française, l’actuel directeur du bureau de la sécurité nationale, Ali Mamlouk, le chef du service de renseignement de l’armée de l’air, Jamil Hassan, et le directeur du service de renseignement de l’armée de l’air situé à Bab Touma, un quartier de Damas.
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Ces mandats ont été émis des chefs de « complicité d’actes de tortures, complicité de disparitions forcées, complicité de crimes contre l’humanité, de crimes de guerre et de délits de guerre » dans le cadre de l’information judiciaire ouverte en octobre 2016 à Paris.
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As a commander in chief, Bashar Assad is personally responsible for genocide against the Syrian people during the two and a half year Revolution.
Le bilan des civils tués par un missile sol-sol tiré vendredi soir par l’armée syrienne sur un quartier d’Alep (nord) s’est élevé à 29 personnes, dont 19 enfants, a rapporté une ONG syrienne samedi.
“Au moins 29 personnes, dont 19 enfants et quatre femmes, ont été tuées dans le quartier de Bab Nairab par un missile sol-sol lancé par les forces” du régime du président Bachar al-Assad, a indiqué l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH). Un précédent bilan faisait état de 18 morts.
La Cour pénale internationale est une juridiction permanente chargée de juger les personnes accusées de génocide, de crime contre l’humanité, de crime d’agression et de crime de guerre.
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